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BMO : l’apprentissage du savoir-être au service de l’entreprise

Le 24/02/2017

Le Bachelor de Manager en Optique (BMO) vise à former les futurs managers et entrepreneurs du secteur de l’optique. À la suite du BTS Opticien Lunetier, le BMO, année de formation supplémentaire en alternance (Bac+3), complète les apprentissages théoriques et techniques en développant les capacités managériales et le savoir-être des opticiens diplômés. Outre les enseignements incontournables en management, marketing, vente, négociation et gestion, ce cursus à haute valeur ajoutée fait la part belle aux soft skills,également appelées compétences humaines et relationnelles.

Le savoir-être, une compétence indispensable aux futurs managers

Des acquis techniques à l’apprentissage du savoir-être

Le BMO à l’ISO s’adresse aux diplômés de BTS Opticien Lunetier qui se destinent à un poste à responsabilités dans le secteur optique : futurs responsables d’équipe ou de magasin, responsables régionaux, chefs de secteur… Ces professionnels de l’optique seront appelés à diriger un magasin et à encadrer des équipes.

Une fois le socle théorique et les compétences techniques intégrées lors du BTS, les étudiants doivent ainsi se doter de qualités individuelles afin d’adopter une attitude professionnelle et une posture de leader. Tourné avant tout vers le savoir-être, le BMO favorise l’apprentissage d’un management humain.

C’est aujourd’hui la seule formation en France qui prépare des profils de managers correspondant aux attentes spécifiques du marché de l’optique. Ce cursus apporte une réponse concrète aux besoins des entreprises et accroît fortement l’employabilité des opticiens diplômés.

Management et savoir-être : des modules diversifiés

Les modules de développement personnel et de leadership incluent, entre autres, la connaissance de soi, de l’entreprise au sens humain et du collectif en général, ainsi que l’épanouissement et le professionnalisme. Ils permettent de développer l’intelligence relationnelle et émotionnelle, c’est-à-dire l’attention aux collaborateurs, la fiabilité, l’ouverture d’esprit, ainsi que la capacité d’innovation et d’adaptation dans les relations BtoB et BtoC.

Le BMO permet également d’apprendre à mieux connaître le marché de l’optique, être apte à la prise de décision et à l’anticipation.

Les cours sont assurés par des intervenants de haut vol : dirigeants de grands groupes optiques, professionnels du secteur et enseignants de grandes écoles de commerce et de management.

Des diplômés opérationnels, formés par la pratique

Résolument tourné vers l’opérationnel, le BMO accorde une place majeure à la pratique et mise sur un apprentissage qui vise à transmettre aux étudiants un large éventail de compétences managériales qu’ils peuvent mettre en œuvre parallèlement en entreprise.

Business games, jeux de rôles, travaux personnels et en groupes, études de cas, conférences suivies de débats… Autant de formats pédagogiques qui placent les étudiants en situation professionnelle tout au long de l’année. Résultats : des diplômés opérationnels, autonomes et réflexifs.

« Un accélérateur de carrière » – les diplômés témoignent

« Le BMO m’a permis de me différencier et de gravir plus rapidement les échelons en entreprise », Wasfi Kaddouri, Directeur Adjoint d’un magasin GrandVision France

De la formation et de l’alternance, Wasfi ne garde « que des bons souvenirs ». « Ce cursus m’a fait évoluer, je suis devenu plus mature », indique-t-il d’emblée. Orienté vers le BMO pour « se différencier dans un secteur optique très concurrentiel », Wasfi a particulièrement apprécié la qualité et la diversité du programme, des intervenants et des échanges, qui ont considérablement enrichi son approche managériale. « J’ai beaucoup aimé les prises de parole, les mises en situation et les exercices très concrets. Les business games donnaient du sens à ce que j’apprenais tous les jours. L’ensemble des cours se révèlent aujourd’hui très utiles dans ma vie professionnelle. »

Wasfi connaît une véritable success story : lors de son alternance, il remplaçait déjà sa directrice adjointe, partie en congé maternité. À peine diplômé, Wasfi a décroché un CDI et pris officiellement la place de sa supérieure, devenue elle-même directrice du magasin. « Le BMO et l’alternance ont accéléré mon évolution professionnelle » – ce qui a même créé des émules parmi ses plus anciens collaborateurs. « Désormais, je suis plus à l’écoute, plus ouvert au débat et plus compréhensif – des qualités nécessaires pour être un bon manager. » Il se considère aujourd’hui comme « un guide porteur de sens, qui indique aux collaborateurs où aller, comment et pourquoi. »

Aujourd’hui, Wasfi est passionné par son métier, mais il est animé d’une ambition encore plus grande : « En 2017, mon objectif est de devenir directeur de magasin ». Et comme le BMO peut également lui ouvrir les portes du management tous domaines confondus, il envisage même un jour d’intégrer l’industrie du luxe en tant que chef de secteur ou directeur d’une boutique.

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« Le BMO m’a permis de prendre de l’assurance et de dominer mes émotions en toute situation », Sophie Mack, responsable d’un magasin Optic 2000 à Villeparisis

Diplômée du BTS OL, Sophie Mack a évolué vers un poste de responsable de magasin chez Optic 2000 à Villeparisis. Après 4 ans d’expérience, elle souhaitait développer ses compétences en management et découvrir des bonnes pratiques qu’elle pourrait mettre en place dans son magasin. Lors de sa formation en BMO, elle a été séduite par l’orientation très humaine du programme, ainsi que la pertinence des conseils fournis.

Cette année lui a appris à rester professionnelle en toute circonstance : « J’y ai trouvé tout une panoplie de solutions précieuses pour gérer des situations du quotidien. Le module de Pascale Charlier m’a par exemple appris à mieux gérer les conflits clients. » La recette ? « Laisser parler le client, noter ses arguments point par point, garder un temps de silence, puis seulement lui répondre. » À présent, la jeune femme déclare avoir « plus d’assurance et de ressources pour gérer [s]es émotions notamment dans des situations difficiles. »

Grâce au BMO, elle a pu devenir un meilleur manager : « J’ai notamment mis en place des challenges pour motiver mes équipes, ainsi que des entretiens individuels plus poussés ». Et les résultats ne se sont pas fait attendre puisque « la cohésion au sein de l’équipe s’est renforcée. »

« Le BMO a participé à une réflexion sur moi-même et m’a aidé à penser plus grand », Nicolas Rigaudière, Opticien chez Grand Optical

Titulaire d’une Licence d’Optométrie, Nicolas Rigaudière s’est orienté vers le BMO afin de compléter sa formation théorique – c’est précisément la dimension pratique de la formation qui l’a convaincu d’y entrer : « J’y ai découvert des matières que je ne connaissais pas, comme la gestion d’entreprise, l’anticipation et la gestion des conflits. »

Ce choix d’orientation s’inscrit pleinement dans son projet professionnel : « Si j’exerce actuellement la fonction d’Opticien, je vise un poste à plus hautes responsabilités. Pour y parvenir, je sais que le diplôme et les contenus du BMO m’ouvriront des portes, me permettront d’évoluer plus rapidement en magasin, et seront un atout pour me lancer à mon compte. »

Cette année d’études supplémentaire a avant tout nourri sa réflexion personnelle : « J’ai beaucoup appris sur moi-même. J’ai développé mes ambitions et me suis donné les moyens de les concrétiser. » D’un caractère naturellement timide, Nicolas est désormais plus ouvert sur les autres, moins distant avec les personnes qu’il ne connaît pas et plus à l’aise à l’oral lors d’interventions publiques. Notamment grâce aux projets de groupe, il parvient davantage à s’affirmer et à prendre sa place. Un bilan positif à tous points de vue.

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Témoignage d’une intervenante

« Mon objectif est de donner aux étudiants des outils pour s’épanouir en entreprise », Pascale Charlier, coach en entreprise et intervenante au sein du BMO

Pascale Charlier, coach en entreprise et formatrice, intervient à l’ISO sur le champ du développement personnel. Elle a élaboré le concept de « leadership conscient », qui consiste à prendre conscience de qui l’on est pour limiter la manifestation d’automatismes. « J’aide les étudiants du BMO à développer leur confiance en eux, à mieux se connaître, à s’ouvrir sur les autres et à adopter une communication non-violente pour éviter le ping-pong d’ego à ego », raconte-t-elle.

Lors d’un atelier dédié, elle les invite par exemple à prendre de la distance avec leurs émotions. Elle les met en scène dans une situation de stress et la leur fait analyser. L’objectif est d’observer ses émotions et ses pensées, ainsi que leurs manifestations physiques (rougeurs, voix qui tremble, mains moites…), puis d’apprendre à les maîtriser.

Pascale leur propose également des cours interactifs sur le non-verbal et le rôle de la gestuelle dans la communication, mais aussi l’intelligence collective, la transversalité… « Ma passion est de transmettre mes connaissances à mes interlocuteurs – professionnels ou étudiants – pour leur permettre d‘améliorer leur quotidien », conclue-t-elle. « Ces ateliers leur serviront dans leur vie. Et s’ils se sentent bien, ils seront également de meilleurs managers. » CQFD.

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