Témoignage de Manon de Clermont Tonnerre en stage à Londres

« Après mon BTS Opticien-Lunetier, je souhaite m’orienter vers une carrière dans la création et le design de montures. La conception de l’objet en tant que tel, mais aussi la dimension de conseil en fonction des goûts et du style du client sont des activités qui me passionnent. L’année prochaine, j’aimerais intégrer le Bachelor de Lunetier Créateur à l’ISO.

Ma réorientation dans l’optique

J’ai d’abord tenté une première année de médecine, pendant laquelle je projetais de devenir chirurgien-ophtalmologue, puis une prépa kiné. Mais ces deux cursus ne m’ont pas plu en raison d’un esprit de compétition omniprésent. J’ai alors décidé de prendre une pause de 5 mois à New-York, dans l’objectif d’améliorer mon anglais, de découvrir d’autres horizons et de vivre une expérience différente.

À mon retour, je me suis inscrite à l’ISO. Une formation en optique qui offrait un excellent équilibre entre le domaine paramédical, le relationnel et des compétences manuelles.

Au fur et à mesure de mon cursus, j’apprends à connaître les multiples orientations possibles au sein du secteur optique. C’est tellement varié !

Ma spécialisation en création et design de lunetterie

Lors de mon stage à Londres, cet été, j’ai découvert une passion pour la création et le design de montures. J’ai pris beaucoup de plaisir à conseiller les clients sur leur choix de monture, notamment en fonction de leurs goûts et de leur style vestimentaire. J’ai adoré cette expérience.

Après l’obtention de mon BTS, j’aimerais intégrer le Bachelor de Lunetier Créateur (BLC) à l’ISO, et refaire un stage dans le domaine de la création, en particulier chez un indépendant.

Je suis très satisfaite de mes études d’optique à l’ISO. Nous sommes très bien encadrés, les enseignants sont pédagogues et accessibles. Le BTS est une très belle formation qui ouvre plein de portes et conduit à de très beaux métiers. »

La Commission européenne a soutenu financièrement la participation de l’ISO à cet évènement. Cette communication n’engage que son auteur et la Commission n’est pas responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues.